Sgalarek, chasseur novice, fils de bouseux.

CHAPITRE 1 : Un bouseux de plus.

Cette histoire débute en l’an 1102. Un jeune chasseur nommé Sgalarek allait faire la fierté de tout un village.

Au 11ème thermidore de l’an 1102 naquit Sgalarek dans un petit village Occidentale d’un nom inconnu de notre connaissance de mage. Il était né dans une famille extrèmement modeste, issue de la grande famille des paysans de l’époque ; les « pégus » comme on les appelaient.
Il a donc vécut dans la bouse toute son enfance. Une enfance de misère, à quémander sur les marchés, à piquer dans les étalages, à dormir dans les rues. Des rues pleine de bouse soit dit en passant.

Sgalarek n’avait pas 12 ans quand il fût repéré par un chasseur de monstres, issu lui aussi du monde paysan. Il l’appréciat pour sa qualité à se faire remarquer au combat avec ses jeunes camarades. Ce chasseur lui apprit alors à se battre à l’épée, à préparer ses potions, à se prémunir et se protéger efficacement contre les monstres et surtout à connaître suffisamment les dragons les plus mythiques et autres bêtes les plus repoussantes qu’il existe, dans le but de lui enseigner l’art de la chasse aux grands monstres.
À 15 ans, notre jeune acolite en savait déjà beaucoup sur le monde des chasseurs de dragons.
Il savait également que tous les chasseurs risquaient leur vie lorsqu’ils partaient chasser un monstre pour une ou des personnes qui en faisait la demande. Mais il aimait rendre service, il aimait se donner aux autres. On peut citer la fois où un vieillard se faisait attaquer dans la bouse des rues les plus sombres de son village par de méchants garçons, et Sgalarek est intervenu : davantage pour ramasser les quelques piècettes qui tombaient à terre durant l’affrontement que pour aider le vieillard à se relever, mais il avait du courage quand même !
Bref, notre jeune ami était parvenu à se procurer une bonne épée, ainsi que le bouclier qui l’accompagnait. Et ce, tout à fait par hasard : des chasseurs ivrognes pullulaient à l’époque, et il n’était pas rare que ceux-ci se fasse détrousser lorsqu’ils se trouvaient ivre mort sur un chemin. Encore une fois tout ces vols n’étaient que le résultat d’une vie de misère que menait ces pégus.

À ces 18 ans, Sgalarek pût finalement se trouver une place fixe chez le chasseur-enseignant, car les parents de ce pauvre Sgalarek furent tous deux lamentablement écrabouillés par un troupeau d’Aptononth, effrayés par un Vélocidrome puissant qui rôdait, alors que ses parents étaient à la cueillette aux champignons. Une histoire terrible mais édifiante sur la dangeureusité de ce monde !
À 18 ans donc, ce jeune homme se trouvait orphelin, et même l’unique orphelin d’un couple de paysans/récoltants/exploitants/exploités. Et c’est à ce titre qu’ils eurent droit à ne pas être enterrés mais brûlés, leurs restes étants trop difficilement transportables, mais passons.

Jusqu’à ces 20 ans, Sgalarek s’entraîna jour après jour, nuit après nuit, pour avoir la chance de servir autrui, et pratiquer une activité qui, au péril de sa vie, pouvait le rendre riche. On peut tout de même ajouter qu’il avait fini par y trouver un intéressement naturel.
Il pût s’acheter lui-même sa propre arme, et ce, auprès de son formateur en personne. C’était une épée longue, d’une extrème finesse et très légère, qui nous fait penser qu’il s’agissait tout simplement d’un sabre, plus communément appelé Katana. Cette arme était déjà au stade bien avancé de Tranchoir avide, avec un pouvoir de foudre, invoqué à chaque coup appliqué à l’adversaire. C’était bien évidemment une véritable arme de boucherie, de chasseur de monstre.

5 ans plus tard, le chasseur-enseignant pris sa retraite. À 50 ans, toutes ses dents, mais déjà une loque humaine terrassée par la scoliose et par sa gangraine qui lui bouffait le pied jusqu’à la moelle.
Sgalarek se devait bien évidemment de reprendre le flambeau, force est de constater que dans de telles circonstances, ce choix est tout indiqué. Il peaufina donc sa connaissance théorique sur tous les monstres connus, tant grâce au chasseur retraité, que grâce aux livres, et décida ainsi de se lancer dans la grande carrière de chasseur de monstres.
Son travail de recherche de quêtes étant facilité par les contacts qu’avait pu avoir le chasseur retraité tout au long de sa carrière.
Le grand départ pour l’une de sa première quête la plus difficile qu’il lui eût été donné de faire allait arriver, celle de terrasser le tigrex enragé qui bloque la circulation de marchandises, dans les montagnes situées à 2 jours de marche de son village.
Quand le jour J arriva, son sac était prêt de la veille, et ne pouvait contenir plus d’objets nécessaires à cette périlleuse quête.
Et il partit, avec une simple combinaisson contre le froid, pour tenter l’impossible…

À suivre...

Bravo!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!J'adore vivement la suite^^.

Simpa le début!!!!Vivement la suite!!!!

CHAPITRE 2 : Ridiculisé.

Tenter l’impossible pour Sgalarek ne voulait rien dire. Son analphabétisme avancé ne lui permettait pas de comprendre ces mots.
Il marcha 6 heures dans les plaines, et fît une halte à l’orée d’un bois pour « tailler l’bout d’gras » comme il sait très bien le dire. Après avoir avalé goulûment un bon steack cuit à point, il prit un Breuvage chaud car la température commençait à baisser (il aimait avoir le haut de son équipement entre-ouvert, ce qui ne lui permettait pas d’être protégé convenablement contre le froid bien évidemment !).
Au bout d’un jour et demi il se trouvait néanmoins au pied de la montagne qu’il n’allait pas tarder à franchir. De là où il était il pouvait aperçevoir des Blangos dévaler les flancs neigeux de la montagne abrupte.

Le sac à Sgalarek commençait à lui peser sérieusement, mais en réalité, il s’agissait plus de son Katana, qui le gênait dans sa progression : en effet, il s’était mis à l’idée que pour pouvoir dégainer correctement son arme, il était préférable de la positionner sur son côté droit, à la façon d’une petite épée. De sorte qu’il passait pour un « glandu » affirmé auprès des chasseurs qu’il rencontrait, ça et là, sur son chemin.

Outre le fait qu’il ne dégageait pas franchement une allure de héros, sa soi-disante protection contre le froid le faisait énormément transpirer et il demeurait par le fait, assez repérable, non par la vue, mais par l’odeur.
Au bout du deuxième jour de marche il arrivait finalement au sommet de la montagne et se trouvait maintenant dans le territoire du gros prédateur écailleux nommé Tigrex.

Des vents violents balayaient la cime des montagnes, et Sgalarek se trouvait maintenant à l’intérieur d’une grotte, tout au moins à l’intérieur d’un trou crée naturellement dans la montagne, mais qui menait à une grotte. Il se déplaçait à l’allure d’un Popo-broutant, tellement la fatigue commençait à lui faire perdre l’usage complet de ses membres dégoulinant de sueur chaude.
Sa tendance naturelle à s’endormir sur place le poussait à vouloir rester éveillé et à être toujours à l’affût, tant et si bien que son attention fût détournée par une fissure dans la voûte de la grotte, qui laissait entrevoir un scintillement à peine visible. En s’approchant il se rendit compte qu’il s’agissait d’un énorme joyau incrusté dans la roche. Faute d’outil adapté à l’extraction de ce minerai, son tranchoir avide lui permetta de retirer la partie principale de ce minerai.
Tout-à-coup un bruit se fît entendre à l’extrémité de la grotte, puis un grognement très distinctif : le tigrex venait d’apparaître. Sgalarek, affolé pris la pierre et parti en courant vers une direction dont il ignorait la sortie. Le tigrex se lança à sa poursuite et Sgalarek fini par faire tomber son minerai, puis dans un sursaut d’intelligence ~~(très rare)~~ il sortie une bombe flash de son sac débordant d’objets, la jeta à la gueule du tigrex et sauta de la montagne.
Il est préférable de ne pas vous conter la suite, cependant il est à observer que le flanc de la montagne que dévala Sgalarek n’était pas ~~(bizzarement)~~ recouvert de neige. Il s’écorcha donc et se blessa lamentablement le corps sur les pierres qui se trouvait sur sa route. Et une pierre tout particulièrement vint lui frapper la tête dans sa chute, lui faisant perdre connaissance…

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D’un point de vue physique, Sgalarek était des plus à plaindre, mais avec cette chute les mots de la langue française ne sont pas assez représentatifs de l’aspect final de notre ami. Un être hybride, une larve. Et pardon d’insulter les larves.

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Nous arrivons dans notre récit à l’instant présent, c’est-à-dire celui ou Sgalarek se fait gentiment reccueillir dans un village montagneux, appelé village de Pokke. Une maison est gracieusement mise à sa disposition, c’est une maison qui a autrefois appartenu à un chasseur, qui a fini par quitter le village pour des raisons inconnues.

Sgalarek ne s’étant pas encore remis de sa chute, et ne s’étant tout simplement pas encore réveillé de son semi-coma, ce chapitre ce clos ici.

À suivre…

C'est trop cool tu a repris l'intro de mhf2^^,tu a juste changer la fin et creer le debut,vivement la suite....

CHAPITRE 3 : Statut de nullard sans le savoir

Sgalarek vient de se réveiller. Un homme qui se tient à son chevêt lui conseil de rester allongé. Notre jeune ami ne comprend pas ce qui lui arrive et demande : « Qu’est-ce que j’fous là moi ?! ». Une question à laquelle l’homme répond brièvement en lui contant l’histoire de sa chute vertigineuse. Sgalarek fini par s’endormir à nouveau.

3 heures plus tard il se lève et jete un coup d’œil au mobilier de sa chambre : un coffre, et une table sur laquelle sont entreposés plusieurs bouquins énormes et quelques revues et qui constituent, avec son lit, les principales choses qui occupent la grandeur de la pièce. Dans un premier temps il ne voit pas la petite ouverture dans le fond de la chambre, une porte faite d’étoffe qui conduit vers une autre pièce de la maison. Puis, en entendant le miaulement d’un chat, il s’en aperçoit, et s’engouffre dans la pièce voisine. C’est une cuisine, très sale, dans laquelle sont entreposés moultes accessoires, nourriture et mobilier. Le chat qu’a entendu Sgalarek vient à sa rencontre et se met à lui parler. Notre jeune ami fût tout d’abord surpris, puis il se rappela un de ses cours avec le chasseur-enseignant dans lequel il disait que certaines races de chats, appelés Félynes, parlent et cuisinent. Ils sont aux ordres de leur maître. Face à de tels souvenirs théoriques, Sgalarek botta le derrière du chat en l’envoyant de l’autre côté du comptoir. Sans raisons apparentes. Et il sortit de la chaumière.
En à peine 20 minutes, Sgalarek fit le tour du village ; de la ferme jusqu’au Hall de rassemblement. Le hall où on lui servi 3 pintes de bière gratuites, car tout le monde sait son histoire dans le village. Même s’il s’agit davantage de pitiée que d’estime, Sgalarek se trouva très fier de son statut au sein du village : le pauvre ne sait pas qu’il passe pour un gros nul accompli.

Au bout du deuxième jour, la chef du village vint trouver Sgalarek au Hall et lui propose une quête de débutant, dans le but de cerner ses compétences et aussi de le remettre d’applomb pour sa quête qu’il avait déjà ratée…
Ce n’est qu’au bout du 4ème jour que Sgalarek se décide à partir. Il prit tous les objets nécessaires à la quête massacre du Giadrome-gênant et paye les modalités de voyage et de soutien du village pour finalement quitter le petit bourg dans l’après-midi.

Sgalarek à reprit du poil de la bête et descend à présent un petit vallon rocheux, à l’allure d’un Bulldrome en fuite. Autant vous dire qu’il reste tout à fait lent dans sa progression. Il a l’impression qu’il va encore se prendre une grosse peignée. Et il ne se trompe pas. Au bout de 2 heures et 15 minutes de marche, il se fait surprendre par le Giadrome et se prend une raclée fénoménal. Ce Giadrome étant accompagné de ses acolites Giaprey, Sgalarek griffé de partout doit fuir et retourner au village, s’acheter de nouveaux habits. Il prend donc le chemin inverse et rencontre un troupeau de Popo qu’il traverse sans encombres.
En arrivant près du village il se rend compte qu’il a perdu tous les objets que contenait son sac. Le Giadrome le lui avait ouvert par le bas, et c’est malgré lui qu’il arrive à la conclusion suivante : « C’est pour sa que j’avançais vite ! » logiquement délesté par le poids que lui incombait son bardas.
Mais il fait tout-de-même du progrès car son arme est finalement placée dans son dos, un conseil que la chef lui donna et qu’il suit à la lettre.

C’est donc la queue entre les jambes que Sgalarek rentre au village. Les villageois voyant son état ne lui posèrent pas de questions, et, grommelant, il rejoint sa maison en claquant la porte.

À suivre...

Cool vivement qu'il y est de l'action....

Continue!!!!!

Chapitre 4 : Actions et rebondissements

Quand Sgalarek entra dans sa maison, il jetta violemment son sac à terre, il restait une bombe de bouse à l’intérieur ~~(qui entre nous ne lui aurait servi à rien)~~ et elle éclata dans le sac. La fumée nauséabonde envahissa toute sa chambre et il du quitter précipitemment cette dernière en régurgitant son repas.
Autant vous dire que les villageois avait perdu tout espoir de renouveau économique de leur village, qui avait pourtant été annoncé par la chef du village elle-même…

Furieux de s’être autant ridiculisé devant les badauds, Sgalarek rejoignit le Hall où il se vida près de 4 bouteilles de vodka-pokkaise, une spécialité du village dont les ingrédients resteront secret devant vos yeux ébahis. Il dût se faire raccompagner par une chasseuse, ou chasseresse (selon le chasseur-enseignant) car cette dernière le connaissait par ses prouesses et finit par avoir de la pitiée pour lui au point de le ramener jusqu’à sa chaumière .

Le lendemain un mal de tête évident fracassait le crâne de notre jeune chasseur-novice-bouseux (C.N.B. : il crééra plus tard un comité de soutien à toutes les merdes de chasseur qui se prennent des peignées à chaque quête… et qui se prennent des cuites à chaque fin de quête [il est à noter que cette association existe toujours sous le nom d’association pour les alcooliques anomymes]) et il eût une soudaine envie de repartir à l’action, et, en ses termes « fracasser le sal c** qui m’a emm***** l’autre fois, j’vais lui bai*** sa race ! ». Suite à cela il parti sans crier gare, sans même prendre le temps de faire son sac ni de se faire préparer quelque met que ce soit.
En 3 heures il parcoura le chemin qu’il avait réalisé en 1 jounée et demi, après 15 minutes de réflexion intensive, il se rappela l’endroit où il s’était fait prendre et rejoigna ce même endroit, le Giadrome était là, à moitiée endormi, mais Sgalarek faisait du bruit. Le Giadrome s’aperçoit de sa présence et Sgalarek porte un premier coup à la bête, puis un deuxième, notre chasseur se fait violemment piqué du bec par le Giadrome, il ne perd pas espoir, il rattaque et au bout de 4 coups lancés il rejeta sa force de fougue en plein « dans la mouille » du Giadrome et celui-ci s’affala au sol dans un cri étouffé. Sgalarek venait de réussir sa première quête. Avant de partir il dépeça se dernier et rejoigna la chef du village en moins de temps qu’il lui en fallait pour avaler une rasade de Vodka-Pokkaise.
Alors qu’il arrivait devant la vieille dame, il lui conta son histoire, et celle-ci ~~(à moitiée émue)~~ lui donna le double de la récompense annoncée !
Et il rejoigna le hall, à demi-nu (puisqu’il ne s’était pas changé de sa dernière quête) pour boire à la santé de sa réussite. Il avala une première gorgée de travers et failli s’étouffer. Tout boulversé, dans un état de choc, il fût emmené à l’infirmerie, où il passa la fin de sa semaine à ripailler avec la nouvelle infirmière (tout en lui contant son histoire).

Un fameux gaillard notre bouseux !
« Peut-être deviendra-t-il un vrai chasseur ! » : c’est ce qui se disait en assemblée de chasseurs. Mais peut-être que le destin en voudra autrement…

À suivre…

De plates excuses pour la conjugaison de mes verbes, c'est du n'importe quoi king

Et peut-être aussi pour les nombreuses fautes qui parcourent ce texte ! What a Face

A ben voila une bonne nouvelle,de l'action youpi^^,j'adore l'assosiation^^.

Vivement la suite...

LA

Un renversement de situation; alors que tout le village de Pokke dormait paisiblement, ses habitants furent soudainement réveillés en pleine nuit par non pas 1, non pas 2, mais bien 8 Fatalis Pourpre !!

Ils ravagèrent tout sur leur passage. Inutile de vous dire que Sgalarek et tous les autres chasseurs du village essayèrent de les repousser, mais en vain.
Le combat était inégale, et bientôt toutes les bâtisses du village étaient rasées, les Fatalis attaquant par les 4 coins du village.

Tous furent brûlés, écrasés, et Sgalarek n'en réchappa pas : alors qu'il tentait de fuir vers les montagnes, 2 Fatalis vinrent se poser sur lui et le tua net.

C'est ainsi que s'achève le court règne des Pokkais et Pokkaises, dans des cris de douleurs, qui s'entendaient dans toute la montage voisine.

THE END

Snif quelle fin.BRAVO!!!

LA

Ah nan c'est énorme j'me suis bien marré Very Happy

Surtout la fin je m'y attendais pas du tout c'est tellement con Razz

Nan bien joué ta fic est courte certes mais efficace Very Happy

Et puis surtout t'as un vocabulaire très riche Wink

Elle assure ton histoire!De toute celle que j'ai lue,c'est celle que je préfère!

Je suis étonné de voir qu'il existe encore des lecteurs assez gourmands pour avaler mes phrases plus sottes les unes que les autres !
Merci du compliment.

Bonne continuation à toi ! Wink

Pas mal Karadoc !!! Very Happy

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